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Sur les pas du Chemin,
elle Le vit,
En dessous, au-dessus,
elle sourit,
à l'intérieur, à l'extérieur
elle s'ouvrit,
dans le centre du coeur
à l'amour-sagesse infini...
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Ce jour-là,
Orélys vit à l'ouest un Svastika,
et à l'est lui répondant, un Triskel
le quatre de la Terre et le Trois du Ciel.
Au centre, la coupole comme une fontanelle
jusque dans la crypte fait tourner
sur les quatre côtés, la roue du soleil.
Elle posa sa main sur l'Orant
en pensant à l'homme complet
dans le sept retrouvé,
en mouvement
dans la totalité.
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Dans la tribune monastique,
Orelys vit la colonne,
arbre de vie, arbre d'Unité.
Deux aigles de chaque côté
ne faisant qu'Un en réalité,
esprit universel et âme individuelle reliés.
Dans les ailes de l'aigle, l'ascension commencée,
le sept dépassé.
Doubles spirales des opposés et des contraires
créant la loi de l'unité intermédiaire
sans cesse à rechercher,
travail de perfectionnnement et sagesse de l'initié.
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Ce jour-là, Orelys vit
dans sa robe blanche de lumière
la danseuse chamane
célébrant les forces de l'univers.
Sur des ailes légères,
elle fut emportée
dans d'invisibles royaumes
violet, blanc, bleutés.
Elle demanda aux gardiens
de veiller sur la terre
de nous apprendre
à mieux l'aimer, à partager.
Car son destin
inséparable des humains
est aussi de rayonner
dans l'immensité !
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