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Ce jour-là, Orelys vit au loin un couple dansant sur les hauteurs des crêtes, un homme et une femme tourbillonant dans l'ivresse de l'instant.
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Ce jour-là, Orelys vit dans la forme des rochers un petit que sa mère écoutait, de son aile le protégeait et sur le front l'embrassait.
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Dans la tribune monastique, Orelys vit la colonne, arbre de vie, arbre d'Unité. Deux aigles de chaque côté ne faisant qu'Un en réalité, esprit universel et âme individuelle reliés. Dans les ailes de l'aigle, l'ascension commencée, le sept dépassé. Doubles spirales des opposés et...
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Sur les pas du Chemin, elle Le vit, En dessous, au-dessus, elle sourit, à l'intérieur, à l'extérieur elle s'ouvrit, dans le centre du coeur à l'amour-sagesse infini...
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Ce jour-là, Orelys vit son visage souriant dans la pierre, son regard de tendresse, beau et ouvert, elle lui offrit une étoile et lui des perles dede lumière.
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Ce jour-là, Orelys vit des rubans comme des racines du ciel sur la terre plongeant, en un mouvement libre joyeux et dansant !
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Sur les pas du Chemin, elle Le vit. En-dessous, au-dessus, elle sourit. A l'intérieur, à l'extérieur, elle s'ouvrit, dans le centre du coeur, à l'amour- sagesse infini...
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Par Orelys dans LES MANDALAS D'ORELYS le 16 Novembre 2009 à 22:05Orelys regarda par la fenêtre et vit, dans une magnifique couronne, l'arbre aux mille écus et les feuilles-feu de l'automne célébrer dans un tourbillon lumineux une merveilleuse épiphanie !